De nombreux bâtiments montréalais possèdent toujours leurs plaques d’adresse émaillées bleu et blanc. Apparues au début du XXe siècle, elles sont aujourd’hui en voie de disparaître.
Datant de la fin du XIXe siècle, les demeures d’inspiration victorienne de la rue May ont disparu en 2015. Car cette ancienne voie a fait place au tout nouveau pont Samuel-De Champlain.
Dans ce lieu, dont la vocation sera tour à tour religieuse, administrative et récréative, commence l’histoire d’Hochelaga dans la première moitié du XIXe siècle.
La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».
Tanneries et carrières ont fortement marqué l’histoire du Mile End, car elles ont conduit à l’édification d’un premier village, puis à la création de la municipalité de la Côte-Saint-Louis.
Le secteur qui deviendra le quartier montréalais du Mile End porte ce nom depuis la première moitié du XIXe siècle. Les habitants l’ont baptisé ainsi pour trois raisons.
En 1900, un jeune Américain, apparemment le premier architecte paysagiste installé à Montréal, se lance dans l’aventure : créer d’inspirants havres de nature dans une trépidante ville moderne.
Fondé en 1975 pour soutenir des organismes œuvrant à la protection du patrimoine, Héritage Montréal contribue activement à la préservation de la ville et à l’éducation de ses citoyens.
Chef-d’œuvre de l’ingénierie québécoise, le pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine a permis le franchissement du Saint-Laurent, mais a nécessité la destruction du cœur villageois de Longue-Pointe.
La construction d’une imposante église dans la rue Saint-Jacques, en 1869, amorce le développement d’une place animée au cœur de Saint-Henri.