Depuis 2015, l’industrie du taxi à Montréal connaît une mutation liée aux technologies, à la nature des entreprises et aux lois. Le secteur est méconnaissable pour les chauffeurs et les usagers.
Créé en 1987, le Bureau du taxi de Montréal ferme ses portes en 2022. Après 35 ans de service, quelle a été sa contribution au fonctionnement de l’industrie du taxi?
Dans l’histoire du taxi à Montréal, les chauffeuses de taxi apparaissent comme un phénomène dont s’empare la presse, tant leur venue dans un monde masculin surprend et dérange.
Des centaines de chauffeurs de taxi sillonnent les rues de Montréal à tout moment. Qui sont-ils? Quel est leur profil professionnel? Quel mode de travail adoptent-ils?
Des moments symboliques ont marqué l’histoire du taxi à Montréal. Ils permettent de comprendre les transformations de cette industrie et illustrent l’évolution du métier de chauffeur.
Le lanternon permet de repérer un taxi montréalais en service de loin. Il fournit aussi le nom de la compagnie à laquelle le chauffeur est associé, avec ses coordonnées.
L’été 1967, Nicole Poliquin a la responsabilité, à Trois-Rivières, d’un kiosque d’information touristique sur l’Expo 67. L’étudiante obtient alors un accès privilégié à l’Exposition et au monde.
Cinquante ans après Expo 67, Monique Michaud et Paule-Andrée Morency, deux amies et anciennes hôtesses du pavillon du Québec, se réunissent et échangent leurs souvenirs.
À Montréal, tout véhicule de taxi doit être équipé d’un taximètre. Établissant le prix de la course, ce compteur horokilométrique a évolué au cours du temps.
Les Tanneries, village des Tanneries, Tanneries-des-Rolland, Saint-Henri-des-Tanneries… Pendant près de 200 ans, l’actuel Saint-Henri a porté un nom lié au travail du cuir qui y avait cours.