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Portrait d’Étienne Rocbert de la Morandière

Garde-magasin du roi à Montréal pendant 39 ans, né en 1668 en France, Étienne Rocbert de la Morandière retourne vivre dans son pays d’origine, avec grand regret, à la fin de sa vie.

Illustration montrant une procession pour les funérailles du chef Huron Kondiaronk qui se rend à l’église Notre-Dame.

La Grande Paix de 1701 doit beaucoup au chef huron Kondiaronk.

Portrait de Marie-Josèphe-Angélique par l’artiste Marie-Denise Douyon.

Condamnée pour incendiat, Angélique était une esclave noire, arrivée à Montréal en 1729. Les documents du procès dévoilent certains pans de la vie de cette jeune femme, révoltée ou bouc émissaire.

Carte de l’île de Montréal vers 1730

La courte vie de la mission autochtone de la Nouvelle-Lorette ou quand les autorités coloniales manigancent afin de créer la paroisse du Sault-au-Récollet.

Plan de la mission de la montagne en 1694

Deux belles tours rondes sur la rue Sherbrooke Ouest sont les derniers vestiges d’une grosse mission autochtone située sur le versant sud du mont Royal à la fin du XVIIe siècle.

Gravure ancienne montrant un accouchement

Durant le Régime français, la profession de sage-femme est une des seules que peuvent pratiquer les femmes. Anne Courtemanche est une des premières sages-femmes connues de Longue-Pointe.

Carte montrant l’emplacement des différentes nations amérindiennes

Qui étaient les Hochelaguiens rencontrés par Jacques Cartier en 1535 sur la future île de Montréal? Iroquoiens du Saint-Laurent, ils faisaient partie d’un vaste ensemble culturel.

Estampe montrant l’intérieur d’un cabaret avec des clients attablés, endormis ou dansants, des garçons de services, des marchands, etc.

L’histoire de cette pétillante cabaretière ouvre une fenêtre sur la vie montréalaise à la fin du XVIIe siècle.

Photo couleur montrant la Maison Nivard-De Saint-Dizier.

Témoins des premiers établissements français, les alentours de la maison d’Étienne Nivard de Saint-Dizier ont révélé un des principaux sites archéologiques autochtones de l’île de Montréal.

Un guerrier autochtone tient une prisonnière en habit européen à l’aide de longues cordes.

Comment, au début du XVIIIe siècle, de jeunes Anglo-Américaines, les sœurs French, se retrouvent-elles à Montréal, alors territoire ennemi?