À la fin des années 1970, des milliers de réfugiés vietnamiens s’installent à Montréal. Dès lors se construit une complexe relation avec le Quartier chinois.
Au cours des XIXe et XXe siècles, divers groupes d’immigrants érigent dans Milton Parc des lieux de culte propres à leur confession. Ils servent leur foi, mais aussi le lien social.
Dans l’administration municipale, Claudie Mompoint a contribué avec ardeur à la création de structures favorisant notamment les relations interculturelles, l’intégration et la solidarité.
La carrière de Patrice Vilcéus au sein du SPVM a été marquée par des missions délicates et l’obtention de postes de commandement. Durant ces 30 années, il a combattu le racisme dans l’institution.
Employée de la Ville pendant plus de 20 ans, Jocelyne Lorquet a œuvré à accroître l’accessibilité et l’inclusion, et a travaillé auprès des jeunes pour favoriser une future mixité professionnelle.
Dans les années 1970, les leaders de la communauté chinoise de Montréal s’organisent pour préserver une large part du Quartier chinois menacée de démolition.
« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.
Andong Wang explore le dessin et la peinture comme vecteurs d’expression. Jumelant rigueur et intuition, ses œuvres reflètent, en trames épaisses ou traits subtils, la richesse de son monde intérieur.
Gardien de la mémoire collective du Quartier chinois, le personnage de Timothy Chiu Man Chan demeure aujourd’hui une source de sagesse et un symbole de résilience.
De l’opéra cantonais aux expositions d’art contemporain, la foisonnante histoire de l’art chinois à Montréal.