Pionnier de la musique latino-américaine au Canada, figure majeure de ce genre et du jazz, « Tito Puente de Montréal », génie de la percussion, gagnant d’un prix Grammy… tel est Joé Armando.
« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.
Le 1er août 1834, dans le port de Montréal, on célèbre la mise en vigueur de la Loi de l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques. On trinque à la santé de l’Empire!
One two team! One two Monarques! One two sans pression! Le cri d’équipe des Monarques de Montréal résonne dans les terrains de basketball de la province depuis 1998.
La fête des Morts, célébrée au Mexique depuis environ 3500 ans, se transporte à Montréal aux mois d’octobre et de novembre 2011.
Alors qu’en 1760, le Canada bascule dans l’univers colonial anglais d’Amérique, plusieurs marchands britanniques voient Montréal comme un lieu d’affaires prometteur!
En 1900, un jeune Américain, apparemment le premier architecte paysagiste installé à Montréal, se lance dans l’aventure : créer d’inspirants havres de nature dans une trépidante ville moderne.
Qu’ils soient parmi les fondateurs de la ville ou arrivés au XXIe siècle, les immigrants de l’Ouest et du Sud de l’Europe colorent Montréal de leur présence séculaire.
Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.
Emilia De Minico, une Italo-Montréalaise installée dans le Mile-End depuis 1960, nous confie quelques-uns de ses souvenirs d’immigration.