En 1967, la rivalité États-Unis–URSS oriente les relations internationales, accapare les esprits et s’impose jusqu’à l’Exposition de Montréal, où les pavillons des deux pays fascinent.
La construction du site d’Expo 67, en moins de 18 mois, est une prouesse d’ingénierie. Ce chantier pharaonien voit la création d’une île, l’agrandissement d’une autre île et la mutation d’une jetée.
Au courant du XXe siècle, l’église Notre-Dame-du-Perpétuel Secours devient le centre de la vie sociale de Ville-Émard, accueillant en ses murs de nombreux événements et activités.
Modestes ou flamboyantes, les vitrines montréalaises du XXe siècle reflètent l’évolution de notre société et de ses valeurs.
Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.
L’Oratoire Saint-Joseph est un des lieux phares des célébrations des fêtes à Montréal. Les crèches de la Nativité et les mélodieux Petits Chanteurs du Mont-Royal y attirent des foules.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
Il fut un temps où les policiers montréalais célébraient en grande pompe la fête de leur saint patron, ils défilaient alors du Champ-de-Mars jusqu’à la basilique Notre-Dame.
Depuis plus de 100 ans, le secteur du Stade olympique est affecté aux loisirs et aux activités sportives les plus variés. Plusieurs projets ambitieux ont été lancés pour mettre en valeur le site.
Artistes et architectes montréalais se sont inspirés de l’Égypte ancienne pour créer des monuments funéraires ou commémoratifs comme des pavillons éphémères ou un gratte-ciel pérenne.