La Pagode khmère du Canada, située au nord de l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, est la première pagode bouddhiste cambodgienne à voir le jour sur l’île de Montréal.
Dans les années 1970, les leaders de la communauté chinoise de Montréal s’organisent pour préserver une large part du Quartier chinois menacée de démolition.
Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.
Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.
Un secteur industriel de l’ouest de Montréal abrite un impressionnant temple hindou, le premier construit au Québec en s’inspirant de l’architecture traditionnelle du sud de l’Inde.
À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.
Né en Inde au XVe siècle, le sikhisme a fait son chemin jusqu’au Québec au XXe siècle. LaSalle abrite un lieu de culte et de vie communautaire destiné aux adeptes montréalais de cette religion.
Après des études en art à Florence, Guido Nincheri s’établit à Montréal et devient un décorateur d’églises prestigieux. Ses œuvres magnifiques ornent de nombreux lieux de culte en Amérique du Nord.
En 1866, un projet de l’évêque de Montréal menace l’intégrité des églises irlandaises catholiques. Le père Patrick Dowd, curé de l’église Saint-Patrick, compte parmi ses plus farouches opposants.