Quelques chiffres et statistiques nous rappellent des éléments marquants des Jeux olympiques de Montréal et révèlent des réalités méconnues.
Imaginez un décor forestier, des murs de pierre, vieux de plus de trois siècles, en ruine... Difficile à croire, mais une telle scène existe bel et bien à l’abri des regards sur l’île de Montréal!
En 1976, Montréal accueille les 21e Jeux olympiques. Cet événement d’envergure mobilise une foule de travailleurs qui réussissent à tout mettre en place pour accueillir athlètes et visiteurs du monde entier.
Dès sa construction en 1928, le cinéma Empress Theatre se distingue par son style inspiré de l’Égypte ancienne. Malgré les outrages du temps et son abandon, il se démarque toujours.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
La municipalité Saint-Jean-Baptiste a été intégrée à Montréal, son marché a disparu. Mais le souvenir de cet ancien lieu de commerce et de vie reste dans la mémoire du Plateau Mont-Royal.
Laïque et francophone, l’Hôpital Notre-Dame, ouvert en 1880, répond à une demande croissante de soins hospitaliers. Il ne cessera d’ailleurs de s’agrandir pour combler les besoins médicaux.
La plupart des Montréalais qui se souviennent du stade De Lorimier ont en tête les matchs de baseball des Royaux, mais ce lieu a accueilli de nombreux évènements, comme un étonnant rodéo en 1946.
L’hippodrome de la ville de Mont-Royal a longtemps attiré une foule de Montréalais enthousiastes. Le 15 juillet 1939, le photographe Conrad Poirier y a capté de précieuses images de ce monde disparu.
La prison Au-Pied-du-Courant a de nombreuses fois changé d’affectation. Cependant, porteuse d’histoire, elle demeure le témoin de la répression des rébellions de 1837 et 1838.