Peut-être êtes-vous déjà entré dans la bâtisse de l’Union française, au coin des rues Viger et Berri? Si tel est le cas, vous pouvez témoigner de l’ambiance chargée d’histoire qui y règne.
Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.
Au début des années 1970, des milliers d’Haïtiens quittent leur île pour rejoindre celle de Montréal. Certains sont reçus par un organisme d’accueil et d’aide émergent, à l’avenir prometteur.
Le 1er août 1834, dans le port de Montréal, on célèbre la mise en vigueur de la Loi de l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques. On trinque à la santé de l’Empire!
La communauté sino-montréalaise s’est mobilisée à plusieurs moments de son histoire face au racisme et à la xénophobie. Aujourd’hui encore, elle combat courageusement l’embourgeoisement, la sinophobie et l’intolérance.
Depuis 1972, le Centre N A Rive aide des immigrants, originaires d’Haïti et d’ailleurs, à s’intégrer à la société montréalaise, en appliquant les principes de l’économie sociale et solidaire.
Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.
Quartier industriel vibrant à la fin du XIXe siècle, la Petite-Bourgogne a hébergé plusieurs communautés culturelles au cours de son histoire.
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.