L'encyclopédie est le site du MEM - Centre des mémoires montréalaises

Résultats de recherche

Affichage 11 à 20 de 29 résultats
Pages intérieures d’une brochure promotionnelle sur le Festival mondial

Inaugurée en 1963, la Grande Salle de la Place des Arts enthousiasme experts et public. L’ajout de deux théâtres, hâté par Expo 67, crée un véritable complexe culturel au centre-ville de Montréal.

Façade de l’édifice Empress Theatre en 2018. Malgré les éléments architecturaux néoégyptiens visibles, le délabrement de l’édifice, en arrière d’une grille métallique de protection, est palpable.

Dès sa construction en 1928, le cinéma Empress Theatre se distingue par son style inspiré de l’Égypte ancienne. Malgré les outrages du temps et son abandon, il se démarque toujours.

Publicité en anglais. Un ours muselé est visible dans la partie supérieure de l’encart. Des typographies différentes sont utilisées pour chacune des lignes et les tarifs pour l’entrée apparaissent tout en bas de l’encart.

Au cours du XIXe siècle, les Montréalais ont pu visiter cinq jardins appartenant à J. É. Guilbault. Évoluant de la pépinière au parc d’attractions, ces lieux étaient alors dans l’air du temps.

À l’intérieur d’un grand magasin, enfants et adultes prennent place dans un train miniature de Noël stationné dans une salle décorée.

Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.

Photo couleur de la place Jacques-Cartier prise de nuit en hiver avec une mince couche de neige. Des décorations en forme de sapins sont placées en groupe de trois le long de la place. L’enseigne de l’hôtel Nelson est illuminée.

En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.

Trois femmes et deux hommes sont attablés dans un restaurant. La femme de gauche donne le biberon à un porcelet à l’avant-plan. À l’arrière-plan, on voit d’autres clients attablés.

Dans les années 1930 naît le renommé restaurant Au lutin qui bouffe. Pendant plus de trois décennies, la qualité de sa cuisine et sa grande originalité en font un lieu phare des nuits montréalaises.

Intérieur de cabaret avec spectacle sur la scène, couples attablés et serveurs.

Après son apogée des années 1940 et 1950, le Montréal festif a progressivement décliné, pour diverses raisons. L’esprit du divertissement est cependant toujours fortement ancré dans la ville.

Photographie en noir et blanc d’un groupe de femmes en costume de scène qui dansent. Il y a une vue sur la salle.

Pendant quelques décennies, cabarets, bars, clubs et cafés font partie du paysage montréalais. Locaux et touristes y assistent aux spectacles les plus variés, tandis que l’alcool coule à flots.

Une femme blonde se tient debout, de profil, les bras relevés derrière la tête et une jambe repliée. Elle porte un costume de scène deux pièces avec un long voile à l’arrière, allant de la taille jusqu’aux pieds.

Dans les années 1940, l’Américaine Lili St-Cyr, véritable légende du striptease, considère Montréal comme sa « vraie patrie ».

Carte postale montrant l'intérieur du parloir avec le comte et la comtesse

Créé dans les années 1920, le Palais des Nains est une des attractions de Montréal qui attirent alors les touristes. Ici, excentricité et divertissement populaire sont de mise!