Les années 1940-1950 sont celles de l’apogée de la pègre montréalaise. Les membres influents de cette « famille » infiltraient tous les milieux et nouaient des relations troubles.
Après son apogée des années 1940 et 1950, le Montréal festif a progressivement décliné, pour diverses raisons. L’esprit du divertissement est cependant toujours fortement ancré dans la ville.
Au milieu du XXe siècle, Montréal a déjà établi sa réputation de ville gastronomique. À toute heure, elle peut satisfaire tous les palais et tous les portefeuilles.
Pendant quelques décennies, cabarets, bars, clubs et cafés font partie du paysage montréalais. Locaux et touristes y assistent aux spectacles les plus variés, tandis que l’alcool coule à flots.
Du XVIIIe siècle au début du XXe, Pointe-Claire est une terre agricole. Les premiers touristes venant profiter des rives du lac Saint-Louis amorcent de grands changements.
Comment vivaient les Autochtones qui occupaient l’île de Montréal? Certaines découvertes archéologiques fournissent les indices indispensables pour comprendre et décrire leur vie quotidienne.
Entre légende et histoire, les « Pieds-Noirs » se sont taillé une solide réputation. Ces gaillards, tantôt voyous, tantôt notables, ont toujours été fiers de leurs clans.
Au printemps 1942, le gouvernement charge les écoliers et écolières du Canada de récolter du caoutchouc de rebut. Les petits Montréalais contribuent ainsi à l’effort de guerre.
À l’écrit et en parole, Ralph A. Maingrette communique son expérience en tant qu’immigrant et artiste invité pour le projet Raconte-moi… Haïti et Montréal.
À l’écrit et en parole, Myrtelle Chéry communique son expérience en tant qu’immigrante et artiste invitée pour le projet Raconte-moi… Haïti et Montréal.