Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.
Dans les années 1950-1960, le défilé de Noël du magasin Eaton rassemble à Montréal 11 000 enfants figurants et entre dans les foyers grâce à la télévision. Depuis, les traditions ont changé.
Photographies anciennes et souvenirs familiaux nous emmènent à Lachine au courant du XXe siècle. La vie de certains habitants y était rythmée par le fleuve, mais aussi par le sens des affaires.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
En 1979, trois immigrants libanais arrivés depuis peu à Montréal y ouvrent une modeste épicerie orientale. Quelques années plus tôt, un restaurant libanais avait été établi sur la même rue.
La télégraphie inaugure l’industrie des télécommunications au XIXe siècle, mais l’efficacité de ses messagers dépend d’une autre innovation moderne : le vélo, promis à un grand avenir!
Usines de fabrication, commerces spécialisés, ateliers de réparation… les entreprises liées à la radio se multiplient à Montréal dans le deuxième quart du XXe siècle.
L’année 1922 marque l’entrée en scène d’un nouveau média à Montréal : la radio commerciale.
Implanté dans les communautés culturelles et lié à la pègre internationale, le crime organisé montréalais s’impose dans toutes les activités illégales. Il corrompt aussi le monde légal et politique.
Au milieu du XXe siècle, dans une relative discrétion, gais et lesbiennes fréquentent des établissements nocturnes où ils peuvent un peu plus ouvertement se rencontrer, se divertir et s’affirmer, prélude à la revendication de leurs droi