Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.
Une voix de crooner, un modèle de vigueur et d’élégance sur scène, ainsi se souvient-on de Joe Trouillot, ce grand homme de spectacle qui a fait danser les foules de Port-au-Prince à Montréal.
Nombreux à transiter par Montréal au XIXe siècle, les Scandinaves s’y installent aussi peu à peu. Leur présence s’affirme à travers la création d’associations au XXe siècle.
Sur les rives de l’île de Montréal, on voit accoster, entre 1776 et 1785, de nombreux Anglo-Américains. Venant des Treize Colonies, ils fuient la guerre.
Comment, au début du XVIIIe siècle, de jeunes Anglo-Américaines, les sœurs French, se retrouvent-elles à Montréal, alors territoire ennemi?
L’effervescence industrielle de Montréal attire plusieurs grands gestionnaires des États-Unis. Leurs traces sont encore perceptibles dans le patrimoine bâti ou la toponymie.
En 1900, un jeune Américain, apparemment le premier architecte paysagiste installé à Montréal, se lance dans l’aventure : créer d’inspirants havres de nature dans une trépidante ville moderne.
Comme beaucoup d’Italiens, la famille Di Feo a quitté son pays en quête d’une vie meilleure. Installé à Montréal, Francesco a poursuivi cet idéal en s’engageant dans la lutte syndicale.
En 1908, l’ingénieur allemand Émile Berliner fait construire une usine à Saint-Henri pour y produire sa toute nouvelle invention : le gramophone.
Le succès de la famille Shearer, d’abord ancré dans les affaires commerciales de Montréal, s’étend au XXe siècle jusqu’à Hollywood.