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Une femme souriante tient un rouleau de peinture et un homme avec une casquette et des lunettes ouvre un pot de peinture en grimaçant. Derrière eux, des tablettes vides.

À partir de 1971, et pendant plus de 30 ans, l’humoriste Yvon Deschamps et l’artiste Judi Richards ont été porte-paroles du Chaînon. Leur fervent engagement résonne toujours dans l’esprit du public.

Portrait de Marie-Josèphe-Angélique par l’artiste Marie-Denise Douyon.

Condamnée pour incendiat, Angélique était une esclave noire, arrivée à Montréal en 1729. Les documents du procès dévoilent certains pans de la vie de cette jeune femme, révoltée ou bouc émissaire.

Portrait buste de Herbert Brown Ames

Au tournant des XIXe et XXe siècles, Herbert B. Ames fait partie des quelques industriels qui luttent pour améliorer les conditions de vie de la classe ouvrière et amender ainsi toute la société.

Un homme et une femme sont debout et tiennent chacun un microphone. Autour d’eux se trouve une foule composée d’enfants et de quelques adultes.

Arrivée à Verdun à partir du début du XXe siècle, une communauté d’expatriés madelinots s’y est enracinée.

Femme avec des lunettes, regard contemplatif.

Par l’œuvre d’une vie, la fondatrice de l’association Le Chaînon a secouru des générations de Montréalaises dans le besoin. Sa mission se poursuit, selon les valeurs qu’elle a transmises.

Portrait en plan poitrine d’un homme qui regarde de biais. Il porte moustache et barbichette.

On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.

Pierre tombale d’Edith Maud Eaton, cimetière Mont-Royal

Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.

Photo en noir et blanc d'un médecin et d'une infirmière devant une camionnette.

La Grande Dépression amène Bethune à repenser le rôle de l’État dans le système de santé. Puis un voyage en URSS lui confirme que d’autres modèles sociopolitiques sont possibles.

Monument en l’honneur des victimes du typhus. Il s’agit d’une immense pierre à l’entrée du pont Victoria.

Des bateaux pleins à craquer, de longues quarantaines et des milliers de morts : l’arrivée massive des Irlandais à Montréal en 1847 met dans l’ombre une immigration débutée dès le XVIIe siècle.

Gros plan sur les statues devant le bâtiment de l’Union française de Montréal

Peut-être êtes-vous déjà entré dans la bâtisse de l’Union française, au coin des rues Viger et Berri? Si tel est le cas, vous pouvez témoigner de l’ambiance chargée d’histoire qui y règne.