Au courant du XXe siècle, l’église Notre-Dame-du-Perpétuel Secours devient le centre de la vie sociale de Ville-Émard, accueillant en ses murs de nombreux événements et activités.
Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.
La communauté irlandaise est peu associée au Mile End. Pourtant, ce quartier lui doit un de ses imposants symboles, l’église St. Michael the Archangel, une des plus singulières de Montréal.
L’église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End est exceptionnelle à plusieurs titres : son architecture, sa décoration, sa qualité de témoin de l’urbanisation et de l’emprise de l’Église sur la société.
Reconnue pour son importance symbolique et architecturale, la basilique Notre-Dame accueille de nombreuses cérémonies pour des personnalités québécoises et des centaines de milliers de visiteurs.
Désirant construire une nouvelle cathédrale à Montréal, l’évêque Ignace Bourget rêve d’un bâtiment à l’image de Saint-Pierre-de-Rome. Le 28 août 1870, la première pierre de l’édifice est posée.
Fondé au XVIIe siècle, puis établi en 1861 dans le futur quartier Milton Parc qu’il a fortement marqué, l’Hôtel-Dieu a été au service de la santé des Montréalais pendant près de 380 ans.
L’histoire du Mile End au XXe siècle est étroitement associée à celle de la communauté juive. Deux institutions, aux visées contrastées, y ont profondément laissé leur marque.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.
Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.