En 1925, marcher sur la rue Notre-Dame Est, de Saint-Laurent à Berri, c’était découvrir la Petite-Syrie, authentique cœur de la vie commerciale et culturelle de la communauté syro-libanaise.
Dans Parc-Extension, des générations d’hommes et de femmes de diverses origines ont construit leur histoire montréalaise au quotidien.
Montréal est communément reconnue pour être « la ville aux cent clochers ». Plus que des lieux de culte, plusieurs de ses églises sont souvent le cœur de la vie communautaire immigrante.
La Pagode khmère du Canada, située au nord de l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, est la première pagode bouddhiste cambodgienne à voir le jour sur l’île de Montréal.
Officiellement installée en 1922 dans la rue de La Gauchetière, la Mission catholique chinoise accueille en 1957 le père Thomas Tou, premier prêtre chinois à Montréal.
Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.
Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.
Un secteur industriel de l’ouest de Montréal abrite un impressionnant temple hindou, le premier construit au Québec en s’inspirant de l’architecture traditionnelle du sud de l’Inde.
Né en Inde au XVe siècle, le sikhisme a fait son chemin jusqu’au Québec au XXe siècle. LaSalle abrite un lieu de culte et de vie communautaire destiné aux adeptes montréalais de cette religion.