Stratégique dès le XIXe siècle, un croisement routier de Milton Parc est doté, de 1959 à 2008, d’une infrastructure controversée. Aujourd’hui, sécurité et échelle humaine ont été retrouvées.
La longue histoire de ces pôles du Vieux-Montréal est jalonnée de rebondissements. Terrain militaire, marché public, parlement, stationnement, place publique : ils ont accueilli tant de fonctions!
À la recherche d’une vue imprenable sur la ville et ses gratte-ciels? Envie de concerts estivaux ou d’activités hivernales? Rendez-vous au belvédère Kondiaronk, lieu suranné mais toujours enchanteur.
La pratique des différentes disciplines olympiques nécessite des lieux spécifiques. En 1976, les compétitions se sont déroulées surtout à Montréal, mais aussi ailleurs au Québec et même en Ontario.
Pour les Jeux de 1976, Montréal a vu grand : au Parc olympique s’ajoutent le village des athlètes et plusieurs autres sites. Mais le symbole fort de cet événement mondial reste le Stade olympique.
Laïque et francophone, l’Hôpital Notre-Dame, ouvert en 1880, répond à une demande croissante de soins hospitaliers. Il ne cessera d’ailleurs de s’agrandir pour combler les besoins médicaux.
Depuis la fin du XIXe siècle, une digue brise-glace retient les inondations printanières et protège le Vieux-Montréal. Fortement réaménagée pour l’Expo 67, elle est alors baptisée Cité du Havre.
À partir du XIXe siècle, le mont Royal accueille les cimetières de Montréal, le sauvant ainsi de l’urbanisation. Ces lieux abritent aujourd’hui un riche patrimoine, tant funéraire que naturel.
Comment imaginer qu’à l’emplacement actuel de la place du Canada et du square Dorchester se trouvait le cimetière catholique Saint-Antoine, où furent inhumées environ 55 000 personnes?
Inauguré en 1941, l’aéroport de Montréal est le plus important au Canada en 1961. Éclipsé par celui de Mirabel pendant une vingtaine années, il retrouve sa prédominance à la fin des années 1990.