Premier propriétaire et conducteur d’une automobile à Montréal, il a fait fortune dans un nouveau secteur de l’économie à la fin du XIXe siècle, l’immobilier. Qui est cet homme?
Immigrant de Syrie au début du XXe siècle, Georges Farah-Lajoie entre dans la police montréalaise en 1906. Il devient graduellement un véritable personnage et, pour certains, un héros.
L’industrie touristique montréalaise prend son envol dès l’aube du XIXe siècle. Et déjà, les touristes apprécient les villages autochtones, les rapides de Lachine et les sports d’hiver!
De Jacques Viger à Valérie Plante, 44 hommes et une femme se sont succédé à la mairie. Mais très peu d’électeurs pouvaient voter en 1833. Le processus de démocratisation a toutefois suivi son cours depuis.
En 1984, une école du Plateau devient un lieu d’ancrage culturel et politique pour la communauté lesbienne. Cet effervescent laboratoire social appuie ainsi une forme de résistance.
Les photographies d’un jeune Montréalais nous emmènent à bord d’un croiseur français en 1913, et nous invitent aux festivités qui ont souligné la venue de ce bâtiment de guerre.
Attiré par la Révolution tranquille, le photographe portugais Jorge Guerra s’installe à Montréal en 1970. Il y poursuit une œuvre imprégnée de réalisme et marque la vie culturelle de la métropole.
À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.
En 2016, les rythmes de la 41e édition de la Carifête ont rassemblé, comme chaque année, quelque 100 000 personnes. Cette fête caribéenne rappelle que Montréal est aussi un peu antillaise.
Coulant entre Montréal et Laval, la rivière des Prairies a longtemps été un accès vers le nord et une source d’hydroélectricité. Mais elle a toujours constitué une limite à franchir.