La transplantation d’un morceau d’écosystème nordique au sud du Québec est l’un des événements des Floralies de Montréal. En 1980, la végétation de la tourbière a séduit des milliers de visiteurs.
L’effervescence industrielle de Montréal attire plusieurs grands gestionnaires des États-Unis. Leurs traces sont encore perceptibles dans le patrimoine bâti ou la toponymie.
Comment, au début du XVIIIe siècle, de jeunes Anglo-Américaines, les sœurs French, se retrouvent-elles à Montréal, alors territoire ennemi?
Au début des années 1970, des milliers d’Haïtiens quittent leur île pour rejoindre celle de Montréal. Certains sont reçus par un organisme d’accueil et d’aide émergent, à l’avenir prometteur.
Alors qu’en 1760, le Canada bascule dans l’univers colonial anglais d’Amérique, plusieurs marchands britanniques voient Montréal comme un lieu d’affaires prometteur!
Sur les rives de l’île de Montréal, on voit accoster, entre 1776 et 1785, de nombreux Anglo-Américains. Venant des Treize Colonies, ils fuient la guerre.
Une accumulation de neige de 43 cm en 24 h, un vent de 108 km/h, des motoneigistes assistant les citadins, et malheureusement 17 victimes. Ce ne sont là que quelques aspects d’une tempête mémorable.
Découvrir l’histoire de l’ancienne traverse de Montréal-Nord permet de rencontrer des personnages marquants de ce quartier. La famille L’Archevêque et le docteur Clermont sont de ceux-là.
Avec toujours autant d’acuité, le roman de Gabrielle Roy, Bonheur d’occasion, entraîne le lecteur au cœur du quartier Saint-Henri et témoigne de la dureté de la vie des ouvriers d’alors.
À deux reprises, à 157 ans d’intervalle, le site Dawson, situé au centre-ville de Montréal, a révélé des vestiges du seul village des Iroquoiens du Saint-Laurent retrouvé sur l’île.