Policier montréalais, Charles-André Latulippe témoigne ici de son expérience au sein de l’originale escouade à ski du mont Royal, une unité qui a aujourd’hui disparu.
Ayant quitté ses Açores natales en 1958, José-Louis Jacome commence une tout autre vie à Montréal. Il a huit ans et découvre l’hiver, l’hostilité, mais aussi la modernité et l’abondance.
Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.
En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.
Alors jeune fille de 20 ans, Diane Groulx a travaillé tout l’été 1967 à l’Expo. L’expérience l’a transformée et lui a permis de réaliser l’immensité du monde à découvrir.
Veuve et retraitée, grand-maman mène une vie solitaire, rythmée par ses souvenirs d’immigrante, l’écoute de la télévision en portugais, la messe dominicale et l’attente de la visite de ses proches.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage d’Odete Claudio.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, quatre petits-enfants témoignent de ce qui les unit à leurs grands-parents.
Prise d’une fièvre tenace, Yolande Méthot a fait 54 visites d’Expo 67! Plus elle y allait, plus elle devait y retourner. Elle a relaté cette belle aventure humaine dans son Récit de l’Expo 1967.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuel Vasco.