Le cinéaste Denys Arcand a frôlé une grande aventure : saisir le Québec sur pellicule pour le montrer au monde entier! Mais l’Expo 67 n’a pas tenu toutes ses promesses.
À l’Expo, Janette Bertrand est fascinée par les pays d’Afrique et le Japon, mais elle fait aussi une belle découverte locale, celle d’un jeune artiste québécois qui va la marquer.
Pour Michel Barette, l’été 1967 est celui des grandes découvertes. Le p’tit gars d’Alma, qui s’extasie de la modernité de l’Expo comme de celle de Montréal, est touché par la démesure du monde.
Michel Rivard passe à l’Expo une grande partie de l’été 1967 qui devient une fête sans fin. Habité par un sentiment de liberté et de dépaysement, l’adolescent y amorce son passage à l’âge adulte.
En tant que « voix féminine de l’Expo 67 », la comédienne Andrée Champagne est notamment narratrice de l’émission Visite à l’Expo. Mais sa notoriété ne facilite pas sa découverte du site.
Comme beaucoup d’Italiens, la famille Di Feo a quitté son pays en quête d’une vie meilleure. Installé à Montréal, Francesco a poursuivi cet idéal en s’engageant dans la lutte syndicale.
Une voix de crooner, un modèle de vigueur et d’élégance sur scène, ainsi se souvient-on de Joe Trouillot, ce grand homme de spectacle qui a fait danser les foules de Port-au-Prince à Montréal.
Des habitants de Ville-Émard se souviennent de la vie des ruelles, un espace où les adultes commerçaient et socialisaient, tandis que des tribus d’enfants y établissaient leur domaine.
Peu nombreux à Montréal avant la décennie 1970, les Chiliens s’y établissent en grand nombre à la suite du coup d’État qui frappe leur pays en 1973.
En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.