Les conditions de travail des policiers de Montréal s’améliorent dans la première moitié du XXe siècle. La formation et l’équipement se modernisent tandis que les luttes syndicales s’intensifient.
Louis Cyr, sacré homme le plus fort du Canada en 1886, a été policier dans une ville aujourd’hui intégrée à Montréal. Sous cet uniforme, l’hercule québécois n’a pas connu le succès.
Policier montréalais, Charles-André Latulippe témoigne ici de son expérience au sein de l’originale escouade à ski du mont Royal, une unité qui a aujourd’hui disparu.
Ce n’est que depuis 1985 que Montréalais et Montréalaises composent le 911 pour accéder à tous les services d’urgence. Tardif pour plusieurs raisons, ce progrès est cependant certain.
De 1959 à 1984, la police de Montréal assure à nouveau le service d’ambulance. Le transport des patients prend une telle ampleur qu’on dit alors que ses agents sont plus ambulanciers que policiers!
La fin du XIXe siècle voit l’entrée des Montréalaises à l’université. Plusieurs étapes ont mené à ce succès soutenu par la grande bourgeoisie, notamment les Molson et particulièrement Anne Molson.
Le quartier montréalais Milton Parc a été le lieu d’une lutte emblématique entre citoyens et promoteurs immobiliers. Ce long conflit s’est déclaré à la fin des années 1960.
Dans les années 1980, le gigantesque projet de coopératives du quartier montréalais Milton Parc est tout aussi emblématique que la lutte citoyenne qui en a été le prélude.
Fondé au XVIIe siècle, puis établi en 1861 dans le futur quartier Milton Parc qu’il a fortement marqué, l’Hôtel-Dieu a été au service de la santé des Montréalais pendant près de 380 ans.
Inaugurée en 1923, l’École des beaux-arts de Montréal offre une formation publique et professionnelle dans le domaine des arts. Elle comble ainsi un criant besoin, économique comme politique.