Le soir du 25 avril 1849, de fortes têtes entrent dans le parlement et y mettent le feu. Les députés se hâtent de sortir et on tente de sauver les archives et les livres. Le feu prend de l’ampleur…
Le krach de 1929 frappe durement les Montréalais. Montréal ainsi que plusieurs villes soutenues par les gouvernements fédéral et provincial mettent graduellement en place des « secours directs ».
Quelques chiffres et statistiques nous rappellent des éléments marquants des Jeux olympiques de Montréal et révèlent des réalités méconnues.
En 1976, Montréal accueille les 21e Jeux olympiques. Cet événement d’envergure mobilise une foule de travailleurs qui réussissent à tout mettre en place pour accueillir athlètes et visiteurs du monde entier.
Fréquentées aujourd’hui par des professionnels, des amateurs et de simples spectateurs, de nombreuses installations sportives des Jeux olympiques de 1976 animent le paysage montréalais.
Tous les efforts des pompiers volontaires montréalais pour stopper l’incendie de juillet 1852 sont vains. En effet, un malheureux hasard permet au feu de se propager et de détruire 1200 maisons.
En juin 1721, 171 maisons ainsi que le plus grand hôpital de Montréal, petite ville coloniale de 2000 personnes, sont réduits en cendres. Ce drame conduira à de grandes améliorations urbaines.
Défi immense, le chemin de fer reliant Montréal à Vancouver est avant tout le moyen de joindre la Colombie-Britannique à la Confédération, d’affirmer la présence canadienne dans l’Ouest et d’ouvrir la voie à la colonisation.
Montréal n’est pas épargné par les conflits de travail qui, de 1918 à 1921, marquent l’Amérique du Nord. En décembre 1918, quatre syndicats d’employés municipaux votent une grève qui sera historique.
En avril 1734, un incendie ravage Montréal. L’Hôtel-Dieu et 45 maisons sont détruits, des centaines d’habitants, qui ont tout perdu, sont à la rue. Et, comme le feu, une rumeur se répand rapidement…