L’Hôpital chinois est un des emblèmes de la communauté sinophone de Montréal. Une statue de Confucius veille sur cette institution unique en son genre, inaugurée en 1918.
Officiellement installée en 1922 dans la rue de La Gauchetière, la Mission catholique chinoise accueille en 1957 le père Thomas Tou, premier prêtre chinois à Montréal.
Au début du XXe siècle, les Sœurs Missionnaires de l’Immaculée-Conception tissent des liens avec la Chine. Certaines y résident dès 1909, d’autres se consacrent à la communauté chinoise de Montréal.
Au début du XXIe siècle, Montréal est encore une destination secondaire pour les immigrants du sous-continent indien. Pourtant ce flux migratoire s’est accentué à partir des années 1980.
Fondatrice de la première communauté de femmes missionnaires au Canada, Délia Tétreault a œuvré à Montréal. Mais son action a retenti jusqu’en Asie de l’Est.
Au courant du XXe siècle, l’église Notre-Dame-du-Perpétuel Secours devient le centre de la vie sociale de Ville-Émard, accueillant en ses murs de nombreux événements et activités.
À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.
Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.
Le 13 avril 2015, un violent incendie détruit l’église orthodoxe grecque du quartier Parc-Extension. Les paroissiens attristés témoignent de leur attachement à ce lieu de culte.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.