Le 31 décembre 1737, Marguerite d’Youville et ses trois compagnes prononcent leurs vœux en secret. Cette date est considérée aujourd’hui comme celle de la fondation de la communauté des Sœurs grises.
En mai 1982, le pape Jean-Paul II célèbre la béatification du frère André, puis, en octobre 2010, Benoît XVI prononce sa canonisation. Le bienheureux devient ainsi le premier saint québécois.
En septembre 1984, Montréal reçoit un pape en exercice pour la première fois. Le passage de Jean-Paul II est un événement et donne lieu à des festivités marquantes pour les catholiques de la ville.
À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.
À partir des années 1960, la présence libanaise se diversifie et s’intensifie à Montréal, qui, 40 ans plus tard, compte la plus forte population originaire du Liban au Canada.
Célébrée à Montréal dès le XVIIe, la Fête-Dieu est contestée par des groupes protestants au XIXe. Tenue 60 jours après Pâques, elle donne lieu à des processions majestueuses jusqu’aux années 1960.
Nommé deuxième évêque de Montréal en 1840, Ignace Bourget nourrit l’espoir de raviver la ferveur religieuse des fidèles de son diocèse.
Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.
Nombreux à transiter par Montréal au XIXe siècle, les Scandinaves s’y installent aussi peu à peu. Leur présence s’affirme à travers la création d’associations au XXe siècle.
À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.