Sauvées de la démolition par le Comité citoyen de Milton Parc dans les années 1970, des maisons de chambres offrent un milieu de vie et un loyer abordable aux personnes démunies du quartier.
La communauté sino-montréalaise s’est mobilisée à plusieurs moments de son histoire face au racisme et à la xénophobie. Aujourd’hui encore, elle combat courageusement l’embourgeoisement, la sinophobie et l’intolérance.
Auteure de renom d’origine anglo-chinoise, Edith Maud Eaton a longtemps vécu à Hochelaga. Très appréciée par la communauté sino-montréalaise, elle mérite d’être mieux connue du public francophone.
Fondé en 1968, le Carrefour d’éducation populaire de Pointe-Saint-Charles est depuis au cœur de la vie communautaire du quartier.
Quartier industriel vibrant à la fin du XIXe siècle, la Petite-Bourgogne a hébergé plusieurs communautés culturelles au cours de son histoire.
Le Red Light est en transformation dans les années d’après-guerre. Malgré sa réputation sulfureuse, le quartier reste résidentiel et une partie de sa population ne profite pas des activités illégales.
Engagés dans la défense des droits des locataires montréalais, des comités logement se forment au début des années 1970 pour préserver le droit à un logis.
Des bateaux pleins à craquer, de longues quarantaines et des milliers de morts : l’arrivée massive des Irlandais à Montréal en 1847 met dans l’ombre une immigration débutée dès le XVIIe siècle.
L’histoire de l’école Riverside, autrefois située au sud-est de Pointe-Saint-Charles, est intimement liée à celle des habitants de ce secteur, longtemps tributaire de l’industrie ferroviaire.
Montréal compte l’un des plus importants programmes de jardins communautaires au monde. Nés d’initiatives citoyennes, ils permettent à des milliers de citoyens de cultiver un lopin de terre en ville.