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Un homme aux cheveux blancs et souriant en plan rapproché

À une époque où l’homosexualité est considérée comme un crime, Armand Larrivée Monroe révolutionne les bars gais, en offrant à leur clientèle des spectacles conçus pour elle.

Photographie en couleurs, d’un homme noir assis devant un piano. Sur le piano est posée une partition de Chopin.

Dès l’âge de neuf ans, Oliver Jones se produit en spectacle et goûte à la vie nocturne montréalaise. Ce prodige musical s’est ensuite fait un nom sur la scène jazz locale et internationale.

Trois femmes et deux hommes sont attablés dans un restaurant. La femme de gauche donne le biberon à un porcelet à l’avant-plan. À l’arrière-plan, on voit d’autres clients attablés.

Dans les années 1930 naît le renommé restaurant Au lutin qui bouffe. Pendant plus de trois décennies, la qualité de sa cuisine et sa grande originalité en font un lieu phare des nuits montréalaises.

Photo couleur de la place Jacques-Cartier prise de nuit en hiver avec une mince couche de neige. Des décorations en forme de sapins sont placées en groupe de trois le long de la place. L’enseigne de l’hôtel Nelson est illuminée.

En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.

À l’intérieur d’un grand magasin, enfants et adultes prennent place dans un train miniature de Noël stationné dans une salle décorée.

Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.

Publicité en anglais. Un ours muselé est visible dans la partie supérieure de l’encart. Des typographies différentes sont utilisées pour chacune des lignes et les tarifs pour l’entrée apparaissent tout en bas de l’encart.

Au cours du XIXe siècle, les Montréalais ont pu visiter cinq jardins appartenant à J. É. Guilbault. Évoluant de la pépinière au parc d’attractions, ces lieux étaient alors dans l’air du temps.

Façade de l’édifice Empress Theatre en 2018. Malgré les éléments architecturaux néoégyptiens visibles, le délabrement de l’édifice, en arrière d’une grille métallique de protection, est palpable.

Dès sa construction en 1928, le cinéma Empress Theatre se distingue par son style inspiré de l’Égypte ancienne. Malgré les outrages du temps et son abandon, il se démarque toujours.

Pages intérieures d’une brochure promotionnelle sur le Festival mondial

Inaugurée en 1963, la Grande Salle de la Place des Arts enthousiasme experts et public. L’ajout de deux théâtres, hâté par Expo 67, crée un véritable complexe culturel au centre-ville de Montréal.

La troupe de Ballet Raíces de Colombia

Le succès de la principale troupe de danse folklorique colombienne de Montréal prouve le rôle déterminant de la culture, du folklore et de la danse dans le rapprochement interculturel.

Entrée du Club Balattou de soir, deux hommes se serrent la main

Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.