L'encyclopédie est le site du MEM - Centre des mémoires montréalaises

Recherche

Réintialiser la recherche
Affichage 21 à 29 de 29 résultats
Jeune femme, en robe, tenant un chat dans ses bras, sur un balcon d’appartement.

La poète Elsa Gidlow vit les espoirs et déceptions d’une jeune anticonformiste dans le Montréal des années 1910 alors que les possibilités de nouer des relations lesbiennes sont rares.

Une quinzaine de personnes se tiennent derrière deux  grandes bannières, l’une rouge, l’autre blanche. On peut y lire : « Arrêtez la violence, arrêtez le mépris, Stella »

En 1995, un groupe de travailleuses du sexe fondent l’organisme Stella, l’amie de Maimie afin de d’améliorer leur qualité de vie et leurs conditions de travail à Montréal.

Publicité de Baby's Own Soap, montrant une mère donnant le bain à son bébé avec l'aide de ses deux petites filles.

Les récits de Charlotte Führer ont sans doute fait sourciller ses contemporains. Aujourd’hui, ils sont l’occasion de jeter un regard sur l’histoire d’une Allemande au cœur du Montréal victorien.

Portrait taille de Georges Farah-Lajoie vers la fin de sa vie

Immigrant de Syrie au début du XXe siècle, Georges Farah-Lajoie entre dans la police montréalaise en 1906. Il devient graduellement un véritable personnage et, pour certains, un héros.

Photo de studio de Judy Rebick

En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.

2010. Françoise Lemieux au moment de son entrevue.

Rollande Prieur a habité dans le Red Light de 1928 à 1950.

Vieil homme buvant une bière.

En raison du commerce d’importation, puis de l’implantation de brasseries et de distilleries, l’industrie de l’alcool constitue depuis longtemps une importante activité économique à Montréal.

Deux jeunes hommes sont accoudés à une voiture stationnée devant une rangée de maisons à deux et trois étages dans la rue de l’Hôtel-de-Ville.

Le Red Light aux parfums illicites et aux plaisirs défendus cachait une autre réalité. Une fois les néons éteints, le jour levé, ses 4000 résidants se réveillaient, mangeaient, travaillaient…

Femme suspendant des vêtements sur une corde à linge.

Dans les années 1930, 1940 et 1950, le quartier ouvrier Red Light est reconnu pour sa vie nocturne mouvementée. Des activités illicites, comme la prostitution et le crime organisé, s’y déroulent.