Comme beaucoup d’Italiens, la famille Di Feo a quitté son pays en quête d’une vie meilleure. Installé à Montréal, Francesco a poursuivi cet idéal en s’engageant dans la lutte syndicale.
Au travers de trois témoignages, le documentaire Jours meilleurs révèle différentes facettes de l’immigration de jeunes Italiens à Montréal.
Le documentaire Le figuier, troisième volet de la série Ricordati di noi, décrit la culture de cet arbre méditerranéen pratiquée avec ingéniosité et patience par les Italo-Montréalais.
Les Italiens de Montréal ont inventé un argot qui leur est propre. Une étude sociolinguistique explore ses liens avec plusieurs langues et dialectes, et souligne ses étonnantes spécificités.
Réalisateur et enseignant, Giovanni Princigalli interroge le professeur d’histoire universitaire, Bruno Ramirez, sur l’orientation politique des immigrants italiens de Montréal.
Cette émouvante valise contient le trousseau de mariage d’une Italienne venue à Montréal avec ses trois enfants pour y rejoindre son mari et y immigrer.
Qu’ils soient ouvriers saisonniers ou permanents, les immigrants italiens du début du XXe siècle ont besoin d’un logement transitoire, le temps de bâtir leurs assises à Montréal.
La famille Di Lallo a rendu bien des services à Ville-Émard, son quartier d’adoption. Ces immigrants italiens y ont créé, entre autres, un fameux restaurant et une équipe de hockey de renom.
Le film de Giovanni Princigalli (Ho fatto il mio coraggio) a été salué par plusieurs prix. Dans une approche informée et humaine, le documentariste y présente un aspect singulier de l’immigration italienne à Montréal.
Emilia De Minico, une Italo-Montréalaise installée dans le Mile End depuis 1960, nous confie quelques-uns de ses souvenirs d’immigration.