À partir des années 1870, le village d’Hochelaga s’industrialise rapidement et le manque de logements est criant. La filature Hudon construit donc des habitations, principalement pour sa main-d’œuvre.
Au cours des années 1960 et 1970, les familles portugaises sont nombreuses à élire domicile sur le Plateau Mont-Royal. Encore 13 % des Montréalais d’origine portugaise y vivent en 2011.
Personnage haut en couleur de la bourgeoisie francophone montréalaise, Ucal-Henri Dandurand a possédé des édifices à l’image de son statut social ou de ses goûts d’avant-garde.
En 1535, l’explorateur français Jacques Cartier visite Hochelaga, sur l’île de Montréal. Il note quelques observations qui permettent d’imaginer ce village iroquoien et ses habitants.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
Parmi les magnifiques villas du XIXe siècle qui subsistent à Montréal, figure la maison William-Notman. De style néoclassique, elle fut achevée en 1845 selon les plans de John Wells.
Au XIXe siècle, l’état de santé des Montréalais s’aggravant, des mesures sont prises pour enrayer les plus graves épidémies. Les autorités sont enfin convaincues de la nécessité de l’hygiène.
Natif d’Haïti, Georges Bonhomme œuvre pour la Ville de Montréal dès les années 1960. Il y mène une brillante carrière et laisse sa marque en matière de logement et d’urbanisme.
Édifié au cœur de Milton Parc en 1900, l’édifice Marlborough était destiné à la location haut de gamme. Son style Queen Anne devait charmer les bourgeois montréalais en quête d’un pied-à-terre.
Construite après les expulsions des années 1970, la tour résidentielle surnommée « la Plaza chinoise » témoigne des luttes pour le logement qui ont animé le Quartier chinois au début du XXe siècle.