Des pyramides de fruits et de légumes frais, des « cannages » à profusion, de la farine, du sucre, des céréales, du thé, du café : on trouve de tout chez Mme I. Steinberg, épicière.
Au début du XXe siècle, l’arrivée massive d’immigrants contribue à l’activité économique de la métropole. Certaines initiatives marqueront l’histoire commerciale de Montréal et du Québec.
À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.
Alors qu’en 1760, le Canada bascule dans l’univers colonial anglais d’Amérique, plusieurs marchands britanniques voient Montréal comme un lieu d’affaires prometteur!
La télégraphie inaugure l’industrie des télécommunications au XIXe siècle, mais l’efficacité de ses messagers dépend d’une autre innovation moderne : le vélo, promis à un grand avenir!
La prostitution a été un commerce florissant et persistant à Montréal. Marquant l’imaginaire, certaines tenancières et maisons pourraient faire oublier le quotidien sordide des « filles ».
Pendant quelques décennies, cabarets, bars, clubs et cafés font partie du paysage montréalais. Locaux et touristes y assistent aux spectacles les plus variés, tandis que l’alcool coule à flots.
Au milieu du XXe siècle, Montréal a déjà établi sa réputation de ville gastronomique. À toute heure, elle peut satisfaire tous les palais et tous les portefeuilles.
L’année 1922 marque l’entrée en scène d’un nouveau média à Montréal : la radio commerciale.
Usines de fabrication, commerces spécialisés, ateliers de réparation… les entreprises liées à la radio se multiplient à Montréal dans le deuxième quart du XXe siècle.