Véritable pastiche des châteaux de la Loire, l’édifice n’a abrité les élus de Saint-Louis que quatre ans, les coûts de sa construction ayant précipité l’annexion de la municipalité à Montréal.
Dans la rue Dominion de la Petite-Bourgogne, on aperçoit une imposante tour à balles, vestige de l’ancien complexe industriel de la Steel Company of Canada, connue sous le nom de Stelco.
Tour à tour résidence de gouverneur, de la Compagnie des Indes, de l’armée d’invasion américaine, cour de justice, école, faculté d’université et musée, le Château Ramezay raconte toute une histoire!
Dévasté par un incendie en 2016, l’édifice Robillard avait une valeur patrimoniale indéniable. De 1896 à 1897, il avait abrité la première salle exclusivement cinématographique du Canada.
En 1996, après plus de 70 ans de services, le Forum cesse de vibrer au rythme des matchs de hockey. Ayant marqué l’histoire sportive du Canada, il est reconnu comme lieu historique national en 1997.
Laïque et francophone, l’Hôpital Notre-Dame, ouvert en 1880, répond à une demande croissante de soins hospitaliers. Il ne cessera d’ailleurs de s’agrandir pour combler les besoins médicaux.
Depuis la constitution en municipalité de la Ville de Montréal en 1832, les élus municipaux rêvaient d’un édifice prestigieux pour remplir la fonction d’hôtel de ville. C’est chose faite en 1872.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
Pour les Jeux de 1976, Montréal a vu grand : au Parc olympique s’ajoutent le village des athlètes et plusieurs autres sites. Mais le symbole fort de cet événement mondial reste le Stade olympique.
La pratique des différentes disciplines olympiques nécessite des lieux spécifiques. En 1976, les compétitions se sont déroulées surtout à Montréal, mais aussi ailleurs au Québec et même en Ontario.