L’ouverture de la tannerie Moseley, première usine de Saint-Henri, illustre la transition des anciennes tanneries artisanales du quartier vers l’ère industrielle.
Construit en 1904, l’hôtel de ville de Sainte-Cunégonde abrite la première bibliothèque publique de langue française au Canada.
Au début des années 1970, des milliers d’Haïtiens quittent leur île pour rejoindre celle de Montréal. Certains sont reçus par un organisme d’accueil et d’aide émergent, à l’avenir prometteur.
Le parc Saint-Paul, tout comme la fontaine qui l’embellit, rappelle l’ambition de certains citoyens de Côte-Saint-Paul, mais aussi leur générosité envers leur quartier.
Personnage haut en couleur de la bourgeoisie francophone montréalaise, Ucal-Henri Dandurand a possédé des édifices à l’image de son statut social ou de ses goûts d’avant-garde.
Au début du XXe siècle, la Canadian Tube & Steel Company, établie à Ville-Émard, contribue à l’essor industriel et résidentiel du quartier.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.
Malgré une histoire parsemée de conflits et de menaces de destruction, le cinéma Rialto est aujourd’hui un des édifices patrimoniaux phares du Mile End.
Le secteur qui deviendra le quartier montréalais du Mile End porte ce nom depuis la première moitié du XIXe siècle. Les habitants l’ont baptisé ainsi pour trois raisons.
Le Village-aux-Oies (Goose Village), aussi appelé Victoriatown, forme une petite enclave résidentielle au cœur d’une zone ferroviaire et industrielle. En 1964, tout est rasé.