Au travers de trois témoignages, le documentaire Jours meilleurs révèle différentes facettes de l’immigration de jeunes Italiens à Montréal.
Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?
Dès l’âge de neuf ans, Oliver Jones se produit en spectacle et goûte à la vie nocturne montréalaise. Ce prodige musical s’est ensuite fait un nom sur la scène jazz locale et internationale.
À une époque où l’homosexualité est considérée comme un crime, Armand Larrivée Monroe révolutionne les bars gais, en offrant à leur clientèle des spectacles conçus pour elle.
Reine des claquettes, danseuse et chanteuse, Ethel Bruneau conquiert dès les années 1950 la scène montréalaise, où elle côtoie les plus grands artistes. Son aura nimbe encore le monde des claquettes.
Possédant des talents d’animateur, comédien et chanteur, Jacques Normand a été la vedette de plusieurs cabarets montréalais. Il a aussi connu le succès à la radio et à la télévision.
Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.
En raison de son ampleur, de sa durée, de l’engouement du public qu’elle a suscité et des bouleversements politiques qu’elle a engendrés, l’enquête Caron a défrayé la chronique.
Dans les années 1940, Pacifique Plante, à la tête de l’escouade de la moralité, entreprend de nettoyer en profondeur le Montréal interlope. Après son scandaleux renvoi, il riposte avec brio.
Peu professionnels, mal formés, mal payés, les policiers montréalais franchissent trop souvent la ligne séparant légalité et illégalité. Dès le milieu du XXe siècle, les critiques fusent.