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Six musiciens se trouvent sur scène et jouent

Bien implantées dans leur milieu, les maisons de la culture de Montréal travaillent depuis 40 ans à resserrer le tissu social dans les quartiers où elles se trouvent.

Six garçons et filles regardent des photos collées sur le plafond et les murs d’une petite maison.

Accessibles et audacieuses, les maisons de la culture de Montréal sont, dès les années 1980, des lieux innovants de démocratisation culturelle.

Photo couleur d’une foule colorée qui danse sur la pelouse devant une ancienne gare.

Au début des années 2000, après 20 années d’existence, de grandes transformations attendent le réseau des maisons de la culture. Plus que jamais, l’objectif est de démocratiser l’accès à la culture.

Vue de haut d’un escalier et de étages d’un bâtiment. Une dizaine de personnes montent l’escalier. Aux deux étages, des gens sont rassemblées.

En 1981, une première maison de la culture ouvre ses portes à Montréal dans l’objectif de rendre la culture plus accessible dans les quartiers de la ville.

Photo en noir et blanc d’une vitrine de grand magasin en 1941. On voit un mannequin féminin portant une robe et un turban. Près d’elle, assis sur un imposant trône d’allure orientale, se trouve un musicien tibétain jouant d’un instrument traditionnel.

Modestes ou flamboyantes, les vitrines montréalaises du XXe siècle reflètent l’évolution de notre société et de ses valeurs.

Maisons de trois étages en pierres grises le long d’une rue.

Sauvées de la démolition par le Comité citoyen de Milton Parc dans les années 1970, des maisons de chambres offrent un milieu de vie et un loyer abordable aux personnes démunies du quartier.

Carte en sépia montrant un espace clairsemé avec peu d’habitations. Les mots COTE à BARON sont visibles en caractères noirs en haut au centre de l’image.

Jusqu’au début du XIXe siècle, les secteurs de la côte à Baron et du mont Sainte-Famille évoluent en parallèle. Par la suite, l’urbanisation accélérée fait naître Milton Parc de leur jonction.

Publicité en anglais. Un ours muselé est visible dans la partie supérieure de l’encart. Des typographies différentes sont utilisées pour chacune des lignes et les tarifs pour l’entrée apparaissent tout en bas de l’encart.

Au cours du XIXe siècle, les Montréalais ont pu visiter cinq jardins appartenant à J. É. Guilbault. Évoluant de la pépinière au parc d’attractions, ces lieux étaient alors dans l’air du temps.

Photo couleur montrant la façade d’un bâtiment imposant.

Inaugurée en 1923, l’École des beaux-arts de Montréal offre une formation publique et professionnelle dans le domaine des arts. Elle comble ainsi un criant besoin, économique comme politique.

Gravure en noir et blanc montrant un large bâtiment dont la partie centrale est surmontée d’un dôme. L’édifice se trouve derrière un mur de pierre. Au premier plan, une rue sur laquelle circulent des calèches et des piétons. Le trottoir est bordé d’arbres

Fondé au XVIIe siècle, puis établi en 1861 dans le futur quartier Milton Parc qu’il a fortement marqué, l’Hôtel-Dieu a été au service de la santé des Montréalais pendant près de 380 ans.