Au cours du XIXe siècle, les Montréalais ont pu visiter cinq jardins appartenant à J. É. Guilbault. Évoluant de la pépinière au parc d’attractions, ces lieux étaient alors dans l’air du temps.
Inaugurée en 1923, l’École des beaux-arts de Montréal offre une formation publique et professionnelle dans le domaine des arts. Elle comble ainsi un criant besoin, économique comme politique.
Fondé au XVIIe siècle, puis établi en 1861 dans le futur quartier Milton Parc qu’il a fortement marqué, l’Hôtel-Dieu a été au service de la santé des Montréalais pendant près de 380 ans.
Dans les années 1980, le gigantesque projet de coopératives du quartier montréalais Milton Parc est tout aussi emblématique que la lutte citoyenne qui en a été le prélude.
Le quartier montréalais Milton Parc a été le lieu d’une lutte emblématique entre citoyens et promoteurs immobiliers. Ce long conflit s’est déclaré à la fin des années 1960.
La fin du XIXe siècle voit l’entrée des Montréalaises à l’université. Plusieurs étapes ont mené à ce succès soutenu par la grande bourgeoisie, notamment les Molson et particulièrement Anne Molson.
Des habitants de Ville-Émard se souviennent de la vie des ruelles, un espace où les adultes commerçaient et socialisaient, tandis que des tribus d’enfants y établissaient leur domaine.
Au début du XXe siècle au Québec, Christine Cadet, tisserande à la filature Hudon, devient à 21 ans la première femme vice-présidente d’un syndicat du textile
Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.
En transition, le Vieux-Montréal des années 1970 attire jeunes et anticonformistes. Sur la place Jacques-Cartier, la salle de spectacle de l’hôtel Nelson est l’un de ses lieux emblématiques.