Policier montréalais, Charles-André Latulippe témoigne ici de son expérience au sein de l’originale escouade à ski du mont Royal, une unité qui a aujourd’hui disparu.
L’Oratoire Saint-Joseph est un des lieux phares des célébrations des fêtes à Montréal. Les crèches de la Nativité et les mélodieux Petits Chanteurs du Mont-Royal y attirent des foules.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
L’élite montréalaise du XIXe siècle forme de nombreuses sociétés savantes pour favoriser la science et la culture. L’une d’entre elles lutte déjà pour préserver le patrimoine montréalais.
Espace vert et festif, le nouveau parc du Pied-du-Courant émerge d’un passé marqué par l’industrialisation. Il y a plus de 135 ans, il avait déjà pour vocation d’aérer les Montréalais.
Réalisateur et enseignant, Giovanni Princigalli interroge le professeur d’histoire universitaire, Bruno Ramirez, sur l’orientation politique des immigrants italiens de Montréal.
Dans les années 1920, le F.B.I. visite le laboratoire de recherches médicolégales de Montréal, une ressource précieuse pour la police qui utilise les sciences depuis longtemps et avec succès.
Les critiques portées contre la police de Montréal dès les années 1940 culminent lors de l’enquête Caron. La professionnalisation du métier de policier règlera progressivement plusieurs problèmes.
À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.
Louis Cyr, sacré homme le plus fort du Canada en 1886, a été policier dans une ville aujourd’hui intégrée à Montréal. Sous cet uniforme, l’hercule québécois n’a pas connu le succès.