En 1976, Montréal accueille les 21e Jeux olympiques. Cet événement d’envergure mobilise une foule de travailleurs qui réussissent à tout mettre en place pour accueillir athlètes et visiteurs du monde entier.
Quelques chiffres et statistiques nous rappellent des éléments marquants des Jeux olympiques de Montréal et révèlent des réalités méconnues.
Le krach de 1929 frappe durement les Montréalais. Montréal ainsi que plusieurs villes soutenues par les gouvernements fédéral et provincial mettent graduellement en place des « secours directs ».
Le soir du 25 avril 1849, de fortes têtes entrent dans le parlement et y mettent le feu. Les députés se hâtent de sortir et on tente de sauver les archives et les livres. Le feu prend de l’ampleur…
Contacter les pompiers rapidement n’était pas chose facile avant l’invention du téléphone. L’apparition de la boîte d’alarme à Montréal, en 1863, constitue une véritable révolution.
Au Centre d’histoire se dresse une colonne de fonte, cannelée et surmontée d’un chapiteau corinthien. Cette rescapée d’un incendie témoigne du Montréal industriel du XIXe siècle.
Depuis 1809, la colonne Nelson affronte quotidiennement les intempéries et les critiques politiques. Pour certains Montréalais, elle symbolise en effet l’impérialisme britannique du XIXe siècle.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des petits-enfants racontent ce qui les unit à leurs grands-parents. Ici, le témoignage de Tania Carreira.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuela Marujo.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuel Vasco.