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Épicerie italienne sur la rue Saint-Zotique, avec une voiture à cheval devant.

Qu’ils soient ouvriers saisonniers ou permanents, les immigrants italiens du début du XXe siècle ont besoin d’un logement transitoire, le temps de bâtir leurs assises à Montréal.

Valise d’une immigrante italienne contenant son trousseau de mariage, constitué en 1939

Cette émouvante valise contient le trousseau de mariage d’une Italienne venue à Montréal avec ses trois enfants pour y rejoindre son mari et y immigrer.

Photographie de profil d'une femme prenant le thé (à droite) et de la femme lui servant le thé (à gauche).

Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.

Napperon du restaurant Chic-N-Coop.

Ce napperon d’un restaurant très populaire de la rue Sainte-Catherine Ouest a été donné par une famille ontarienne qui ne manquait jamais d’aller manger dans cet établissement lors de ses visites annuelles à Montréal.

Six musiciens se trouvent sur scène et jouent

Bien implantées dans leur milieu, les maisons de la culture de Montréal travaillent depuis 40 ans à resserrer le tissu social dans les quartiers où elles se trouvent.

Six garçons et filles regardent des photos collées sur le plafond et les murs d’une petite maison.

Accessibles et audacieuses, les maisons de la culture de Montréal sont, dès les années 1980, des lieux innovants de démocratisation culturelle.

Photo couleur d’une foule colorée qui danse sur la pelouse devant une ancienne gare.

Au début des années 2000, après 20 années d’existence, de grandes transformations attendent le réseau des maisons de la culture. Plus que jamais, l’objectif est de démocratiser l’accès à la culture.

Vue de haut d’un escalier et de étages d’un bâtiment. Une dizaine de personnes montent l’escalier. Aux deux étages, des gens sont rassemblées.

En 1981, une première maison de la culture ouvre ses portes à Montréal dans l’objectif de rendre la culture plus accessible dans les quartiers de la ville.

Photo en noir et blanc d’une vitrine de grand magasin en 1941. On voit un mannequin féminin portant une robe et un turban. Près d’elle, assis sur un imposant trône d’allure orientale, se trouve un musicien tibétain jouant d’un instrument traditionnel.

Modestes ou flamboyantes, les vitrines montréalaises du XXe siècle reflètent l’évolution de notre société et de ses valeurs.

Maisons de trois étages en pierres grises le long d’une rue.

Sauvées de la démolition par le Comité citoyen de Milton Parc dans les années 1970, des maisons de chambres offrent un milieu de vie et un loyer abordable aux personnes démunies du quartier.