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Un homme et une femme, derrière le comptoir d’un restaurant.

En 1979, trois immigrants libanais arrivés depuis peu à Montréal y ouvrent une modeste épicerie orientale. Quelques années plus tôt, un restaurant libanais avait été établi sur la même rue.

Une cinquantaine d’élèves accompagnés de parents font un pique-nique à l’extérieur.

À la fin du XIXe siècle, les écoles montréalaises existantes accueillent un nombre croissant d’élèves immigrants. Cependant, des écoles portées par les communautés culturelles voient aussi le jour.

Groupe d'une trentaine de personnes prenant la pose pour une photo.

Nombreux à transiter par Montréal au XIXe siècle, les Scandinaves s’y installent aussi peu à peu. Leur présence s’affirme à travers la création d’associations au XXe siècle.

Quinze élèves se tiennent debout, en file. En arrière plan, une enseignante et des élèves.

Créées en 1969, les classes d’accueil se déploient après l’adoption de la Charte de la langue française en 1977. Dans les années 2000, elles se multiplient pour répondre à une demande grandissante.

Ignace Bourget, assis à son bureau, un livre est posé sur le bureau.

Nommé deuxième évêque de Montréal en 1840, Ignace Bourget nourrit l’espoir de raviver la ferveur religieuse des fidèles de son diocèse.

Réunies sous l’arche fleurie, des fillettes aux atours angéliques côtoient de jeunes garçons habillés en petit page pour la procession de la Fête-Dieu

Célébrée à Montréal dès le XVIIe, la Fête-Dieu est contestée par des groupes protestants au XIXe. Tenue 60 jours après Pâques, elle donne lieu à des processions majestueuses jusqu’aux années 1960.

Homme dans les gradins du stade olympique.

À partir des années 1960, la présence libanaise se diversifie et s’intensifie à Montréal, qui, 40 ans plus tard, compte la plus forte population originaire du Liban au Canada.

Bibliothèque et tables avec des livres.

Arrivés à Montréal à partir des années 1980, des artistes et des intellectuels iraniens y forment des groupes culturels, littéraires et artistiques qui mettent la culture perse à l’honneur.

Groupe d'enfants accompagnés d'adultes se tenant dans les escaliers d'un immeuble.

À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.

Des gens marchent dans les rues brandissant des pancartes plusieurs en turc. Des voitures sont stationnés sur la rue.

Entre septembre 1986 et janvier 1987, 2000 immigrants turcs arrivent à Montréal, les lois canadiennes n’imposant alors aucun visa pour les Turcs. Immédiatement, ils demandent le statut de réfugié.