L’Hôpital chinois est un des emblèmes de la communauté sinophone de Montréal. Une statue de Confucius veille sur cette institution unique en son genre, inaugurée en 1918.
En 1923, les Montréalais reçoivent un cadeau aussi inespéré que généreux. Dans son testament, l’avocat Charles Campbell leur offre, notamment, parcs et concerts gratuits.
Dans le quartier Milton Parc, les Montréalais reçoivent depuis 1843 divers soins médicaux dans d’autres établissements que l’Hôtel-Dieu, qui ont aussi formé de nombreuses infirmières.
Au XIXe siècle, l’état de santé des Montréalais s’aggravant, des mesures sont prises pour enrayer les plus graves épidémies. Les autorités sont enfin convaincues de la nécessité de l’hygiène.
Pour des raisons d’hygiène, la Ville de Montréal a construit dans les années 1880 des bains publics destinés aux ouvriers. Ces premières installations étaient rudimentaires et réservées aux hommes.
Laïque et francophone, l’Hôpital Notre-Dame, ouvert en 1880, répond à une demande croissante de soins hospitaliers. Il ne cessera d’ailleurs de s’agrandir pour combler les besoins médicaux.
Élu en 1846, John Easton Mills ne s’illustra guère durant sa courte carrière de maire de Montréal, jusqu’au jour où il perdit la vie dans des circonstances héroïques.
Au tournant des XIXe et XXe siècles, Herbert B. Ames fait partie des quelques industriels qui luttent pour améliorer les conditions de vie de la classe ouvrière et amender ainsi toute la société.
Articulé autour d’une statue, un espace public du Quartier Concordia souligne l’importance du travail de Norman Bethune comme chirurgien de l’armée de Mao durant la guerre sino-japonaise.
Créé en 1861, l’Institut Nazareth offre éducation et hébergement aux personnes aveugles de Montréal. Premier établissement de ce type au Canada, il laissera sa marque dans le paysage de la ville.