Natif d’Haïti, Georges Bonhomme œuvre pour la Ville de Montréal dès les années 1960. Il y mène une brillante carrière et laisse sa marque en matière de logement et d’urbanisme.
La quête d’équité a été un moteur de la carrière de Viviane Ducheine au sein de la Ville de Montréal. L’efficace promotion de l’interculturalisme par cette dirigeante originaire d’Haïti le prouve.
Afrodescendant montréalais, David Shelton a eu une brillante carrière comme pompier-chef aux opérations. Ce battant animé par un vif sens de l’entraide a lutté pour l’inclusion sur plusieurs fronts.
Le documentaire réalisé à l’occasion des 25 ans du Centre Afrika met en valeur l’approche humaine de cet organisme qui soutient l’intégration des Africains dans la société montréalaise.
Dès l’âge de neuf ans, Oliver Jones se produit en spectacle et goûte à la vie nocturne montréalaise. Ce prodige musical s’est ensuite fait un nom sur la scène jazz locale et internationale.
Reine des claquettes, danseuse et chanteuse, Ethel Bruneau conquiert dès les années 1950 la scène montréalaise, où elle côtoie les plus grands artistes. Son aura nimbe encore le monde des claquettes.
Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.
À partir des années 1920, Montréal a vécu à l’heure du jazz. La Petite-Bourgogne, alors surnommée le « Harlem du Nord », lui a donné des salles et des musiciens de renommée internationale.
À la fin des années 1960, le Congrès des écrivains noirs et la crise de l’Université Sir George Williams révèlent un militantisme noir montréalais lié aux mouvements protestataires mondiaux.