Bruce Allan, aujourd’hui architecte associé du groupe ARCOP à Montréal, raconte la conception de certains pavillons d’Expo 67 et sa participation à leur élaboration, en tant que stagiaire.
Gérard Beaudet est professeur d’urbanisme à l’Université de Montréal. Il a été interviewé dans le cadre de l’exposition-documentaire du Centre d’histoire Quartiers disparus.
Françoise Lemieux a habité dans le Faubourg à m’lasse, rue de la Visitation, de sa naissance en 1939 à 1962. Sa grand-mère habitait à côté. Elles ont vécu la démolition de leurs maisons.
Au nom de la modernisation — autoroutes, métro, Expo 67, complexes immobiliers, hôtels, institutions — disparaissent des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole dans les années 1950 et 1960.
Entre les années 1950 et 1970, plus de 25 000 Montréalais sont expropriés et doivent ainsi quitter leur logement et leur milieu de vie. D’anciens résidants et d’anciennes résidantes racontent.
À Montréal, Bethune reçoit chez lui les figures pionnières de l’art moderne au Canada. S’adonnant lui-même à la poésie et à la peinture, il expose au Salon du printemps de 1935.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
Au XIXe siècle, Montréal est une des principales villes d’expositions du Canada. Pourtant, après 1891 débute une série de tentatives infructueuses pour organiser à nouveau de tels événements.
La construction du site d’Expo 67, en moins de 18 mois, est une prouesse d’ingénierie. Ce chantier pharaonien voit la création d’une île, l’agrandissement d’une autre île et la mutation d’une jetée.
Le thème Terre des Hommes donnait un sens profondément humaniste à l’Exposition de Montréal. Il invitait l’humanité à réfléchir sur son futur et surtout sur son rôle dans ce futur.