Dans les années 1970, les leaders de la communauté chinoise de Montréal s’organisent pour préserver une large part du Quartier chinois menacée de démolition.
« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.
L’Hôpital chinois est un des emblèmes de la communauté sinophone de Montréal. Une statue de Confucius veille sur cette institution unique en son genre, inaugurée en 1918.
Officiellement installée en 1922 dans la rue de La Gauchetière, la Mission catholique chinoise accueille en 1957 le père Thomas Tou, premier prêtre chinois à Montréal.
Quartier industriel vibrant à la fin du XIXe siècle, la Petite-Bourgogne a hébergé plusieurs communautés culturelles au cours de son histoire.
La Pagode khmère du Canada, située au nord de l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, est la première pagode bouddhiste cambodgienne à voir le jour sur l’île de Montréal.
Au cours du XXe siècle, les relations entre Montréal et le Rwanda évoluent et s’intensifient. Après l’époque des missionnaires et des formations universitaires vient celle des réfugiés.
Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.
Plus de 15 000 Vietnamiens s’installent à Montréal à la fin des années 1970. Ils ont fui un régime communiste autoritaire, souvent au péril de leur vie.
Souvent séparées de leurs proches et de leurs enfants, des milliers de femmes philippines travaillent chaque année comme aides familiales à Montréal afin de soutenir financièrement leur famille.