Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
Un documentaire du Centre d’histoire et du Collectif des femmes immigrantes du Québec met en vedette des femmes porteuses d’un organisme fédérateur et de leur intégration à la société montréalaise.
Réalisateur et enseignant, Giovanni Princigalli interroge le professeur d’histoire universitaire, Bruno Ramirez, sur l’orientation politique des immigrants italiens de Montréal.
En juin et juillet 1983, des dizaines de manifestants scandent leur colère dans les rues de Montréal. La plupart sont des chauffeurs de taxi haïtiens. Quel est le motif de ces protestations?
Dans Parc-Extension, des générations d’hommes et de femmes de diverses origines ont construit leur histoire montréalaise au quotidien.
Comme beaucoup d’Italiens, la famille Di Feo a quitté son pays en quête d’une vie meilleure. Installé à Montréal, Francesco a poursuivi cet idéal en s’engageant dans la lutte syndicale.
En 1953, le premier contingent d’immigrants portugais arrive au Canada. Ils sont suivis par d’autres, venant du continent, des Açores et de Madère. Plusieurs deviennent Montréalais.
Les premiers Açoriens ont immigré à Montréal dans les années 1950. Ils évoquent leur premier travail, les difficultés familiales ou administratives, mais aussi la naissance d’une communauté.
Joaquina Pires fait partie de ces personnes, anonymes auprès du grand public, qui contribuent à améliorer notre société. Depuis toujours, elle soutient les immigrantes et les immigrants de Montréal.
Ancienne fonctionnaire municipale, mais aussi militante, Joaquina Pires dévoile les traces laissées par la communauté portugaise dans le quartier Saint-Louis. L’esprit du lieu est-il au rendez-vous?