L’Oratoire Saint-Joseph est un des lieux phares des célébrations des fêtes à Montréal. Les crèches de la Nativité et les mélodieux Petits Chanteurs du Mont-Royal y attirent des foules.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
Les difficiles conditions de vie des immigrants portugais avivent leur attachement au catholicisme. L’Église, puissant élément d’identification, contribue durablement à la cohésion de la communauté.
Il fut un temps où les policiers montréalais célébraient en grande pompe la fête de leur saint patron, ils défilaient alors du Champ-de-Mars jusqu’à la basilique Notre-Dame.
Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.
Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.
À partir des années 1960, la présence libanaise se diversifie et s’intensifie à Montréal, qui, 40 ans plus tard, compte la plus forte population originaire du Liban au Canada.
Artistes et architectes montréalais se sont inspirés de l’Égypte ancienne pour créer des monuments funéraires ou commémoratifs comme des pavillons éphémères ou un gratte-ciel pérenne.
Les festivités de Noël des Latino-Américains de Montréal s’inspirent à la fois des traditions des divers pays d’origine et du pays d’accueil. Spiritualité, partage et gaité sont au rendez-vous.
À partir des années 1880, de nombreux clubs sportifs et les premiers Carnavals d’hiver offrent de nouveaux divertissements à l’élite bourgeoise montréalaise. Mais ces plaisirs lui sont réservés.