Depuis plus de 100 ans, le secteur du Stade olympique est affecté aux loisirs et aux activités sportives les plus variés. Plusieurs projets ambitieux ont été lancés pour mettre en valeur le site.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
Louis Cyr, sacré homme le plus fort du Canada en 1886, a été policier dans une ville aujourd’hui intégrée à Montréal. Sous cet uniforme, l’hercule québécois n’a pas connu le succès.
Le tourisme prend son essor à Montréal au début du XXe siècle, mais les acteurs de ce nouveau secteur économique manquent de cohésion. Dès 1919, le Tourist Bureau of Montreal tente d’y remédier.
Le succès de la famille Shearer, d’abord ancré dans les affaires commerciales de Montréal, s’étend au XXe siècle jusqu’à Hollywood.
Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.
Fondé en 1923, le golf municipal de Montréal est l’une des activités les plus pérennes du secteur du Stade olympique qui, depuis plus d’un siècle, accueille sports et loisirs des plus variés.
La plupart des Montréalais qui se souviennent du stade De Lorimier ont en tête les matchs de baseball des Royaux, mais ce lieu a accueilli de nombreux évènements, comme un étonnant rodéo en 1946.
Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.
L’hippodrome de la ville de Mont-Royal a longtemps attiré une foule de Montréalais enthousiastes. Le 15 juillet 1939, le photographe Conrad Poirier y a capté de précieuses images de ce monde disparu.