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Trois femmes, habillées d’un manteau noir et d’un chapeau, se tiennent devant l’entrée d’une maison. Celle qui est à gauche tient un document et celle du milieu une valise.

Considérées comme des missionnaires urbaines, les Associées offrent leur vie à Dieu en prenant soin des femmes. Cet apostolat laïque requiert bien des qualités, dont énergie et désintéressement.

Un homme d’Église est entouré de deux femmes, une habillée d’un costume et l’autre avec fourrure. Les trois ont un sourire, mais la femme de droite sourit plus amplement en regardant les deux autres.

Depuis neuf décennies, Le Chaînon vient en aide aux femmes les plus démunies. Fondé par Yvonne Maisonneuve, cet organisme montréalais s’appuie toujours sur des principes généreux et humanistes.

Une femme debout tient une porte ouverte pour une femme et un enfant que l’on voit de dos. Sur la gauche, une plaque où est écrit : « Maison d’Accueil ».

Au cours des décennies, dans un environnement sécuritaire et chaleureux, les diverses Maisons d’accueil du Chaînon ont offert des services adaptés à des fillettes et à des femmes de tous âges.

Une fillette assise dans un escalier, tête penchée vers l’avant, coudes sur les genoux et mains devant les yeux. Devant elle, une femme est assise plus bas, regard tourné vers l’enfant et main posée sur les genoux de la fillette.

De 1947 à 1967, l’Institut Notre-Dame-de-la-Protection, ancêtre du Chaînon, a servi de foyer à de nombreuses fillettes et jeunes filles. Les Associées prenaient alors le rôle de maman.

Carte postale colorisée montrant une rue avec un homme au centre, bordée d’arbres et d’édifices.

Dans le quartier Milton Parc, les Montréalais reçoivent depuis 1843 divers soins médicaux dans d’autres établissements que l’Hôtel-Dieu, qui ont aussi formé de nombreuses infirmières.

Aquarelle représentant la place d'Armes en 1790 avec l'église Notre-Dame en arrière-plan.

Gens d’Église, de guerre, de commerce et de métier, mais aussi petites gens peuplent le Montréal de la Nouvelle-France. Dans cette société, tous se connaissent, mais ne se fréquentent pas forcément.

Deux jeunes hommes sont accoudés à une voiture stationnée devant une rangée de maisons à deux et trois étages dans la rue de l’Hôtel-de-Ville.

Le Red Light aux parfums illicites et aux plaisirs défendus cachait une autre réalité. Une fois les néons éteints, le jour levé, ses 4000 résidants se réveillaient, mangeaient, travaillaient…

Membres de l’Associação Portuguesa do Canada (APC) en 1966

Pour briser l’isolement de l’immigration, les Portugais de Montréal se rapprochent et, progressivement, mettent en place des associations structurées qui diffusent leur langue et leur culture.

Hommes coupant la glace sur le fleuve glacé

À la fin du XIXe siècle, le fleuve gelé en hiver sur toute sa largeur force au chômage les débardeurs du port de Montréal. Cependant, des hommes s’activent au milieu de cette « banquise » d’eau douce.

Un homme est assis à l’intérieur du salon de coiffure Barbier A. Plouffe et regarde à l’extérieur par la grande fenêtre.

Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.