L’Hôpital chinois est un des emblèmes de la communauté sinophone de Montréal. Une statue de Confucius veille sur cette institution unique en son genre, inaugurée en 1918.
Gens d’Église, de guerre, de commerce et de métier, mais aussi petites gens peuplent le Montréal de la Nouvelle-France. Dans cette société, tous se connaissent, mais ne se fréquentent pas forcément.
Parcourons Montréal en 1734, et imaginons la vie des habitants de cette petite ville coloniale, française et catholique. Cité de commerçants et de militaires, elle couvre le Vieux-Montréal actuel.
Modeste secteur dans la partie ouest du Vieux-Montréal, la place D’Youville cache bien ses secrets. Pourtant cet espace public dévoile des traces de toutes les époques!
Presqu’île s’avançant dans le lac Saint-Louis, la paroisse rurale de Pointe-Claire, reconnaissable à son moulin du XVIIIe siècle, a aussi accueilli un premier couvent dès 1787.
La courte vie de la mission autochtone de la Nouvelle-Lorette ou quand les autorités coloniales manigancent afin de créer la paroisse du Sault-au-Récollet.
Deux belles tours rondes sur la rue Sherbrooke Ouest sont les derniers vestiges d’une grosse mission autochtone située sur le versant sud du mont Royal à la fin du XVIIe siècle.
Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.
Ancienne chapelle du collège Sainte-Marie, lieu de prière, de pèlerinage, d’art et de théâtre, le Gesù est aussi le dernier vestige témoignant de la présence jésuite au centre-ville de Montréal.
Créé en 1861, l’Institut Nazareth offre éducation et hébergement aux personnes aveugles de Montréal. Premier établissement de ce type au Canada, il laissera sa marque dans le paysage de la ville.