Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.
De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.
En tant que cité du divertissement, Montréal est à son apogée de 1940 à 1960. Toute une économie des plaisirs nocturnes pour adultes s’y développe alors.
Dans les années 1930 naît le renommé restaurant Au lutin qui bouffe. Pendant plus de trois décennies, la qualité de sa cuisine et sa grande originalité en font un lieu phare des nuits montréalaises.
Alys Robi est la première star internationale du Québec. Portée par un talent certain, la vedette des cabarets de la Main entame une véritable carrière internationale. Mais sa gloire sera éphémère.
Passionné par le cinéma et innovateur hors pair, Ernest Ouimet a grandement développé cette industrie. Sans cet étonnant pionnier, Montréal ne serait pas une des métropoles du grand écran.
Meilleur directeur de théâtre canadien-français du début du XXe siècle, Georges Gauvreau se consacra à cette œuvre culturelle et au développement du cinéma au Québec.
Créé dans les années 1920, le Palais des Nains est une des attractions de Montréal qui attirent alors les touristes. Ici, excentricité et divertissement populaire sont de mise!
Actif depuis 1952, le théâtre ambulant pour les jeunes Montréalais La Roulotte est l’œuvre de Paul Buissonneau. Ce géant de la télévision et du théâtre a énergiquement influencé la scène montréalaise.
Avec ses règlements inspirés de ceux du hockey, la LNI a connu un succès fulgurant au Québec. Ce type d’improvisation créé à Montréal en 1977 est maintenant pratiqué dans une trentaine de pays.