Policier montréalais, Charles-André Latulippe témoigne ici de son expérience au sein de l’originale escouade à ski du mont Royal, une unité qui a aujourd’hui disparu.
L’effervescence industrielle de Montréal attire plusieurs grands gestionnaires des États-Unis. Leurs traces sont encore perceptibles dans le patrimoine bâti ou la toponymie.
Le mont Royal est un élément, géographique et culturel, dominant de l’île de Montréal. Il a marqué l’occupation humaine du territoire montréalais, et cela, bien avant la fondation de la ville.
Le parc du Mont-Royal porte la signature d’un illustre architecte de paysage, Frederick Law Olmsted. Concepteur de Central Park, à New York, il a créé à Montréal une de ses plus belles œuvres.
Artistes et architectes montréalais se sont inspirés de l’Égypte ancienne pour créer des monuments funéraires ou commémoratifs comme des pavillons éphémères ou un gratte-ciel pérenne.
À partir du XIXe siècle, le mont Royal accueille les cimetières de Montréal, le sauvant ainsi de l’urbanisation. Ces lieux abritent aujourd’hui un riche patrimoine, tant funéraire que naturel.
À la recherche d’une vue imprenable sur la ville et ses gratte-ciels? Envie de concerts estivaux ou d’activités hivernales? Rendez-vous au belvédère Kondiaronk, lieu suranné mais toujours enchanteur.
Monsieur Birch était un skieur convaincu et convaincant. À la fin du XIXe, cet immigrant norvégien a effectué le trajet Montréal-Québec sur deux lames de bois, et a ainsi popularisé le ski.
Le parc Jeanne-Mance, situé à l’est du mont Royal, a porté plusieurs noms et a accueilli de multiples fonctions. Il fait ainsi partie du paysage montréalais depuis fort longtemps.
En 1900, un jeune Américain, apparemment le premier architecte paysagiste installé à Montréal, se lance dans l’aventure : créer d’inspirants havres de nature dans une trépidante ville moderne.